HOMO CHRISTUS

Table des matières > Introduction > PARTIE 1 – Chapitre I : YHWH m’a dit > Veritas consumus

I – YHWH m’a dit : Écris la prophétie

Veritas Consumus

Comme c’est le cas régulièrement, le lendemain matin suivant, je me réveillais^[1] avec ces mots en tête : « Veritas Consumus ». Oui, On me parle comme si j’avais fait latin première langue. Je leur ai dit plusieurs fois, « en français les gars ! », mais y’a pas moyen, alors je m’en accommode !

Google me le traduit par « consommation de vérités ». Je suis censée écrire Le Livre de la Vérité et YHWH semble vouloir m’alerter sur un certain mode de « consommation des vérités ».

Qu’entend-Il par-là ? Dois-je comprendre que, de nos jours, tout est objet de consommation, même potentiellement la Vérité ? C’est vrai que la spiritualité d’aujourd’hui, qui se dit détentrice de la Vérité, est devenue une sorte de foire aux vanités : des vendeurs spirituels de solutions en tout genre pour guérir, se libérer, ascensionner, pardonner, apprendre à s’aimer et bien d’autres choses qui feront de vous la meilleure version de vous-même !

Cependant, loin de moi l’idée de juger ces marchands vaniteux car j’en ai moi-même fait partie. Croyant bien faire, je me disais que « tout travail mérite salaire » et qu’il était bien normal de me faire rémunérer pour l’aide spirituelle que j’apportais. N’est-ce pas ce qu’on nous enseigne après tout ? Dans un échange équilibré, je te donne et tu me donnes. Et c’est tout à fait vrai, je ne me risquerai pas à dire le contraire… mais en vérité, cela dépend du paradigme dans lequel nous choisissons de vivre.

Ayant grandi dans une famille d’entrepreneurs, m’étant même unie à un chef d’entreprise, comment remettre en doute une seule seconde ce modèle ? Je me suis donc évertuée à essayer de réussir dans le domaine de la spiritualité. Après tout, ce que j’avais à donner était très précieux ; mon intuition aiguisée, ma capacité à cerner les problèmes des gens et à les conseiller, les très bons résultats que j’avais en soin énergétique LaHoChi, ma capacité à harmoniser les lieux, les gens et les situations. Tout ce que j’avais apporté de beau dans la vie de ces gens depuis trois ans, ne devait-il donc pas être récompensé ? Après tout, ne méritais-je pas de réussir moi aussi et de me faire rémunérer en conséquence ?

J’aurais eu envie de vous dire que oui bien sûr, j’y croyais vraiment, mais alors, pourquoi je n’arrivais pas à réussir ? Pourtant, je savais réussir ! J’avais fait ça toute ma vie ! De bonnes études, de beaux diplômes, des médailles, des coupes, une auto-entreprise, de beaux salaires ! Mais là, pour la première fois de toute ma vie, je galérais, je plafonnais et j’enchainais les échecs… en d’autres termes, ça ne fonctionnait pas comme je voulais. Pourquoi n’arrivais-je donc pas à me faire de clientèle ? J’avais tout essayé ; publicité, flyers, réseaux sociaux, j’avais même une vitrine YouTube pour montrer mes talents ! Pourquoi les autres arrivaient-ils à percer et pas moi ?

Puis, quand on décide enfin de voir les choses telles qu’elles sont, on finit par se rendre compte que, finalement, très peu réussissent vraiment dans le domaine et que dans le monde des réseaux sociaux chacun se crée une vitrine étincelante pour s’inventer une réussite en laquelle il croit dur comme fer en espérant que les autres y croiront aussi. Et finalement, tout le monde croit à des mensonges qui ressemblent à des vérités.

Cette « foire aux vérités » comble finalement tout le monde ; les marchands qui croient en leur réussite-en-devenir et les clients qui sont en recherche de solutions faciles pour guérir.

Loin de moi l’idée de dire que tous ces marchands sont des charlatans, non ! La plupart, fort heureusement, sont honnêtes dans leur démarche, c’est-à-dire qu’ils veulent vraiment faire le bien ! Je le voulais moi-même et jamais ô grand jamais je n’aurais vendu un service au détriment du client. Comme une aidante dévouée, je voulais vraiment servir mon prochain, mettre à disposition mes capacités pour l’aider à retrouver son chemin et l’harmonie intérieure, mais je trouvais cela juste et normal de me faire payer en conséquence.

Contrairement aux apparences, je n’ai jamais eu de problème avec l’argent, dans le sens où me faire payer pour mon travail ne m’a jamais posé de problème. Je me suis toujours sentie légitime. Cependant, j’ai commencé à ressentir cette illégitimité à la suite de ma reconversion professionnelle, en 2021, quand je me suis mise à travailler dans la spiritualité.

Comme tous ceux qui débutent, je me suis un temps sentie trop peu qualifiée ou légitime pour aider les autres. Je n’avais aucun diplôme reconnu dans le domaine[2] ; je n’avais pas fait d’études en psychologie ni sur tout autre sujet qui aurait pu me donner les compétences pour aider les autres. Oui, nous sommes conditionnés pour chercher la reconnaissance de l’autorité en place dans tout ce que nous faisons. Par exemple, cette autorité peut être personnifiée par le père, la mère, la famille, l’entourage, le conjoint, l’employeur, l’enseignant, le diplôme, le gouvernement, la religion, ou même la société elle-même. Toute autorité établie et collectivement acceptée, que ce soit par les lois, les coutumes ou les mœurs, a le pouvoir de nous reconnaître. Si ce que nous sommes ou faisons n’est validé ou reconnu par aucune de ces autorités, alors nous sommes conditionnés pour penser que c’est mal ou anormal et qu’il est urgent de se conformer à ce qui est normal. C’est ainsi que je me suis reniée une bonne partie de ma vie, croyant que c’était anormal de changer d’avis comme de chemise, de formation tous les ans et de métier tous les trois ans. C’est ainsi que j’ai cru que changer de passion tous les mois et sauter d’un projet à l’autre aussi souvent que les élans me venaient faisaient de moi une personne « instable » et « peu fiable ». Oui, n’est-ce pas ce qu’on nous dit quand on ne sait pas rester toute sa vie dans le mêêêêêême domaine, avec les mêêêêêêmes personnes et les mêêêêêêmes passions ? « Tu es instable, tu n’es pas fiable, il serait tant que tu te poses dans un domaine et que tu y restes. Ce n’est pas normal de changer d’avis tout le temps comme ça ». Et c’est vrai, que nous dit notre environnement ? « Fais des études, trouve un travail pour la sécurité et fais des enfants, tu auras réussi ta vie ! » Mais qui a dicté les normes du « réussir sa vie » ? Pourquoi malgré tous mes efforts je n’arrivais pas à être normale et à avancer tout droit comme tout le monde ? Pourquoi devais-je sans arrêt avancer en zig-zag, commencer puis m’arrêter, puis revenir en arrière et finalement réavancer ? Pourquoi étais-je incapable de faire une chose à la fois, un projet à la fois, un métier à la fois ? Pourquoi étais-je touche-à-tout et experte en rien ? Comment justifier ça dans mon CV ? Comment ? J’étais tout simplement incapable de « me poser », comme on me disait. Alors que je désespérais de comprendre pourquoi j’étais si anormale, je tombai sur le Human Design qui me permit de comprendre la cause de toute cette souffrance.

« Le Design Humain[3] est une pratique spirituelle et philosophique qui vise à comprendre la personnalité, l’énergie et le potentiel d’un individu à partir de sa date de naissance. Ses partisans le décrivent comme un système holistique de connaissance de soi. Le Human Design combine astrologie, I Ching, la Kabbale et la philosophie védique proposant une division des personnalités en cinq types d’énergie censés indiquer comment quelqu’un peut échanger de l’énergie avec le monde : manifesteurs, générateurs, générateurs-manifesteurs, projecteurs et réflecteurs. Le deuxième aspect important du Human Design est l’autorité, c’est-à-dire la façon dont une personne réalise ses prises de décision. Par ailleurs, le schéma personnel obtenu par cette méthode explique la personnalité, l’intuition personnelle, ou encore la façon de s’alimenter. Les schémas sont censés aider les personnes à comprendre leur mode de fonctionnement et à le respecter plutôt que de tenter de ressembler à la façon dont elles sont conditionnées à être. »

C’est ainsi que je découvris que j’étais finalement normale ! Quelle joie ! Le Human Design m’apprit que j’étais Générateur-Manifesteur, et savez-vous ce qu’est un Générateur-Manifesteur ? Tout ce que je viens de vous décrire. High five aux Générateurs-Manifesteurs qui lisent, vous êtes sauvés de vous-même (ou presque). Pour les autres, c’est pareil, il vous suffit de connaître votre type et ce qui en découle. Je ne développerai pas ce sujet ici mais je ne peux que vous inviter à creuser le sujet en créant votre carte ici[4] et en lisant le site ou le livre très accessible de Julie Yvette Marie sur https://www.julieyvettemarie.com/blog.

Ainsi, consciemment ou pas, nous craignons de sortir du cadre du connu car nous ne savons pas qu’il n’existe aucun cadre. Pire encore, nous essayons de nous y conformer quand bien même ça nous est insupportable, nous forçant à faire ou à dire ce qui est reconnu par l’extérieur. Si Christophe Colomb avait cru en la Terre plate, il n’aurait jamais pris la mer pour aller explorer les « extrémités de la Terre ». Si Galilée avait craint de sortir du cadre, il n’aurait jamais osé défendre au péril de sa vie la théorie de l’héliocentrisme.

Il existe très peu de domaines dans nos sociétés qui ne soient pas ni cadrés ni contrôlés. Cependant, avez-vous remarqué l’absence presque totale de cadre dans le domaine du bien-être ou de la spiritualité en France ? Aujourd’hui, qui veut peut devenir énergéticien, cartomancien, lithothérapeute, coach holistique, coach en développement personnel, ou thérapeute en ceci ou cela. Chacun semble pouvoir être libre de créer un service à son image et de le vendre pour venir en aide à son prochain. La seule condition minimale pour la totalité des services bien-être semble être l’exercice de l’activité sous le statut d’auto-entrepreneur. Même pas besoin de formation ! Devons-nous aussi parler de ce divin soutien financier qu’on appelle « le chômage » dans l’aide à la création d’entreprise, qui fut des plus débridé en 2020 et qui existe toujours à l’heure où j’écris ?

Pour certains, cette aubaine n’est qu’un moyen de subsistance comme un autre, histoire de lier l’utile à l’agréable. Mais pour d’autres, elle est un terrain de jeu, un moyen de partir à l’exploration d’eux-mêmes, créant une carte de services évoluant au fil de la découverte de leur soi, des formations suivies (non reconnues pour la plupart), de leurs victoires, de leurs échecs et de leurs compréhensions de Qui Ils Sont.

Franchement, ce terrain de jeu qui est offert aux travailleurs de Lumière n’a jamais eu pour but de leur permettre de s’installer dans le monde, mais bien de leur permettre de transiter de l’ancien vers le nouveau, dont les règles de la réussite sont bien différentes de celles qu’ils ont connues jusqu’ici.

Personnellement, après quatre formations en massage bien-être, une en magnétisme, deux en soin énergétique LaHoChi, et une dernière en coaching holistique, j’ai finalement compris (ouf !) que l’Amour de soi et de son prochain était une qualité suffisante pour aider l’autre. Cependant, bien que toutes ces formations n’aient aucune valeur sur le marché du travail, elles ont été un investissement en moi-même. Elles n’ont finalement jamais eu pour objectif de me permettre de créer une entreprise prospère, ce que j’aurais probablement réussi dans d’autres conditions pour l’avoir déjà fait, mais de redécouvrir progressivement qui je suis, la force dont je suis capable, et de quelle manière je peux offrir tout ce que j’ai compris au monde afin de l’aider à passer le seuil du Nouvel Âge dont la porte est désormais grande ouverte.

Quand je parlais d’illégitimité, je ne parlais donc pas de celle à me faire payer pour mon travail accompli mais de celle dans le cas d’un service spirituel rendu.

Une lutte intérieure persistait et quelque chose me disait que ce n’était pas légitime de me faire payer dans CE CAS PRÉCIS, que ce n’était pas juste, car cela sous-entendait que seuls ceux qui avaient de l’argent pouvaient donc être aidés sur leur chemin. J’avais l’impression que vendre une aide spirituelle c’était trahir celui que j’aidais et que ça revenait à vendre ce que Dieu m’avait donné. Seulement, je ne comprenais pas pourquoi ce genre d’aide ne pouvait pas se vendre quand d’autres pouvaient l’être.

Dans notre société de consommation, pour consommer et posséder, il faut de l’argent, oui. Mais l’esprit, l’harmonie, l’amour de soi, l’équilibre, l’amitié, le soutien, l’aide à l’autre… la Fraternité… sont-ils des biens qui se vendent ? Tout cela est immatériel et surtout… tout cela est déjà en nous tous. Nous sommes Esprit, nous sommes Harmonie, nous sommes Amour, nous sommes le Yin et le Yang, nous sommes notre meilleur soutien, notre meilleur ami et notre meilleur guide, et surtout, nous sommes tous Frères et Sœurs avec le même Père-Mère qui a déposé en chacun de nous une particule de Lui-Même pour être en contact permanent avec Ses Enfants. Alors pourquoi pensons-nous que nous devons aller acheter cela à l’extérieur ? Pourquoi ? Vous rendez-vous compte ? C’est comme si Dieu Lui-même se pointait un matin devant votre porte – toc toc toc – et vous disait :                   

• Bonjour, je cherche Dieu.

Alors vous resteriez interdit et lui répondriez,

• Ben euh, c’est vous Dieu, non ?
• Comment ça je suis Dieu ?
• Ben euh oui, vous êtes Dieu, vous êtes Tout Ce Qui Est, regardez-vous enfin, ça crève les yeux !
• Ah ok, euh… connaîtriez-vous quelqu’un qui puisse m’aider à voir que je suis Dieu, quelqu’un qui pourrait me donner des solutions pour redevenir Dieu et retrouver tous mes pouvoirs ?
• Si je connais quelqu’un ? Mais qui de mieux que Vous pour vous aider à être Dieu ?! C’est vous Dieu !

On pourrait continuer ce dialogue de sourd encore longtemps mais je suis sûre que vous avez compris où je veux en venir. Tout ce que nous cherchons à l’extérieur est déjà en nous. Dieu est déjà en nous, à porter de main, prêt à répondre à chacune de nos prières. Mais vous pourriez me demander à juste titre : « Ok, mais quand un avocat vend un service à son client, c’est aussi un bien immatériel, quelle est la différence entre le service vendu par l’avocat et le service rendu par le chaman, le guérisseur ou l’aidant spirituel ? »

La différence réside dans le fait que, dans le cas du service vendu par l’avocat, il s’agit d’aider le client à régler des affaires en relation avec ses conditions de vie, c’est-à-dire l’aider à organiser ses affaires dans une réalité physique et matérielle, lieu d’accueil pour son expérience terrestre. Dans le cas du guérisseur ou de tout autre aidant spirituel, il s’agit d’aider la personne à harmoniser sa réalité intérieure pour lui permettre une évolution de conscience, la menant selon sa propre volonté à la « re-connaissance » de la Paternité de Dieu Père-Mère, de la Fraternité entre tous les Hommes[5] et ainsi à la vie éternelle en tant qu’Enfant de Dieu. Le plus difficile à comprendre pour un mental humain est que pour résoudre les problèmes de la réalité physique, il faut SE CONCENTRER SUR LA RÉSOLUTION DES PROBLÈMES INTÉRIEURS.

L’harmonie/dysharmonie visible à l’extérieur n’est que la conséquence de l’harmonie/dysharmonie intérieure.

Si vous comprenez cette vérité suprême, vous êtes sauvé.

Ceux qui se sont suffisamment élevés pour être capables de percevoir des parcelles de la Vérité immuable par l’expérience se doivent de les partager car c’est par le partage qu’ils recevront plus. Ils commettront systématiquement l’erreur de vouloir les vendre mais ils seront enseignés au partage. S’ils persistent dans leur erreur, ils se perdront mais l’enseignement au partage sera toujours à porter de main pour eux, jusqu’à ce qu’ils soient prêts à accepter la vérité que donner c’est recevoir.

Pour répondre à votre question silencieuse « que dois-je faire des problèmes de ma réalité physique pendant que je me concentre sur la résolution de mes problèmes intérieurs ? », je vous dirais de faire de votre mieux pour gérer les pots cassés. Sortez de l’émotionnel, ne donnez pas trop d’importance à tout ça et, surtout, sortez de l’apitoiement sur soi, car c’est un poison qui vous maintient enchaîné. Si vous mettez toute votre énergie dans votre rénovation intérieure et que vous traitez vos problèmes extérieurs avec un détachement suffisant, votre réalité physique se métamorphosera pour le meilleur en un temps record.

Serez-vous capable de croire cela possible ?

Comme il a été introduit précédemment, les deux types de service dont nous parlions n’appartiennent pas au même paradigme : dans celui de l’avocat, les services se vendent, dans l’autre ils se rendent.

Voyez-vous la magie de la langue française quand on y réfléchit : rendre un service. On ne fait pas, on ne fabrique pas un service, on le rend, comme si, de manière sous-entendue, nous avions reçu quelque chose avant. On rend service parce qu’on a reçu à l’Origine. Peut-être que ce quelque chose est le sourire de la voisine, le repas sur la table tous les jours, le soutien reçu par un ami, l’argent rendu à la suite d’un trop perçu, les vêtements chauds dans le placard, le toit sur la tête ou le simple fait d’être en vie pour pouvoir le rendre, comme si finalement ce serait un honneur de servir l’autre, pour équilibrer avec le don de la vie et les bénédictions que Dieu nous offre à travers les occasions de la vie. Et puis, n’est-ce pas ce que nous devrions faire naturellement entre frères et sœurs, se rendre service avec force et honneur ?

Mais il ne s’agit pas de dire que l’un est mal et l’autre bien, non ! Il s’agit simplement de comprendre qu’ils n’appartiennent pas au même paradigme, à la même réalité, à la même dimension de conscience et ne sont donc pas soumis aux mêmes règles.

Dans la dimension de l’avocat, il existe un système économique dont les piliers fondateurs sont le profit, la concurrence et la dualité ; une réalité dans laquelle on vend ce qu’on a pour vivre ou survivre, car dans cette réalité les Hommes sont seuls.

Dans la dimension de l’aidant spirituel, il n’existe pas de système économique car il n’y a rien à vendre. Ses adeptes savent que tous leurs besoins seront comblés s’ils choisissent de s’en remettre à leur divinité intérieure, décidant de laisser leur mental humain fusionner avec leur mental divin, redevenant qui Ils Sont véritablement, c’est-à-dire des citoyens cosmiques alignés sur la Volonté Divine et Enfants de Dieu Père-Mère au service de l’Amour, demeurant au Royaume des Cieux ; celui dont Jésus parlait et que ma Sœur Lulumineuse décrit si bien dans son dernier livre[6]. Dans cette dimension, les Hommes ne sont plus seuls car ils ont un Père-Mère aimant tout puissant et une fratrie infinie.

Finalement, quand on rend un service, c’est parce qu’on a déjà reçu. C’est une manière de remercier Dieu Père-Mère en retour pour ce qu’Il nous donne ; la vie.

Dans le paradigme de la dimension supérieure, la notion d’argent n’existe plus, quel que soit le domaine, car nous avons remis notre vie dans les mains de Dieu qui S’assure comme un Père-Mère aimant que nos besoins matériels et spirituels sont comblés. Cela nous laisse la liberté et l’énergie nécessaire pour partir à la découverte de soi, de la vraie nature de la vie, pour ensuite devenir les témoins d’une nouvelle façon de vivre auprès de ceux désireux d’évoluer, les aidant ainsi à accéder à cette dimension supérieure en leur montrant que cela est possible et comment.

Justement, vous allez alors me dire : « oui, mais comment fait-on concrètement pour devenir Enfant de Dieu, atteindre le Royaume des Cieux, avoir la protection de Dieu et ne plus avoir à vendre ou travailler pour vivre ? »

On ne devient pas Enfant de Dieu, on l’est par nature. Tout Homme est Enfant de Dieu en essence mais il ne peut incorporer cette vérité et espérer la vivre au quotidien qu’après l’avoir reconnue. Il faut ensuite reconnaître la Cause de cet héritage divin : la Paternité de Dieu Père-Mère et la Fraternité entre tous les Hommes. Comprenez ensuite que le Royaume des Cieux n’est pas un lieu mais un état de conscience. Ce Royaume dont parlais Jésus fut une façon de nommer cet état quand l’Homme reconnaît la Paternité de Dieu et la Fraternité universelle qui en découle. Le Royaume des Cieux c’est la dimension dans laquelle vous entrez quand vous reconnaissez la vérité que Dieu est votre Père-Mère et que tous les Hommes sont vos Frères. Si c’est déjà le cas pour vous et que vos actions sont en conséquence, alors vous êtes déjà dans le Royaume des Cieux. Mais y être n’est pas une finalité en soi. Y être ne signifie pas que tout est accompli et que vous êtes arrivé. Y être vous apporte, cependant, sécurité et certitude par votre foi que vous y êtes. Y être implique que vous avez tout remis dans les mains de Dieu, y compris vos besoins les plus primaires. Y être signifie que tous vos besoins seront comblés car vous savez que vous êtes Fils de Dieu et qu’IL Y POURVOIRA SANS FAILLE. Mais y être implique aussi une grande responsabilité : montrer le Chemin du Royaume par l’exemple. Le Royaume des Cieux est certes un royaume de repos, de simplicité et d’harmonie mais il n’est pas un royaume d’oisiveté. Il est un royaume de frères et de sœurs qui créent en harmonie selon la Volonté Divine qui est de ramener tous les Enfants à la Maison.

Pour être libre de l’ancien, il faut d’abord se sentir libre à l’intérieur de soi, libéré de tout fardeau lié à la réalité matérielle. Il faut faire le choix de croire que c’est possible de vivre sans pour autant subir un travail alimentaire dans la réalité physique. Il faut sentir dans son corps et vivre dans ses actes la vérité de sa nature divine et comprendre que celui qui vit en Dieu et qui cherche à être comme Lui verra tous ses besoins comblés. Il ne s’agit pas de remettre son libre arbitre ni son pouvoir décisionnel à Dieu, ni de se prélasser oisivement dans les méandres de la fainéantise et de l’insouciance aveugle. Il s’agit simplement de comprendre que vous n’êtes pas seul. Un mental plus grand est accessible, le Mental de Dieu, et en le laissant coopérer avec vous, les situations que vous pensiez insolvables se résoudront, les idéaux les plus inatteignables seront à portée de main et l’impossible deviendra possible, mais toujours dans le respect du bien commun. Cela ne se fait pas en un jour car il y a tant à déconstruire, mais tout part de l’intention de s’abandonner à l’Intelligence de la Vie, pour qu’Elle prenne en main les détails lourds de votre existence et que vous n’ayez plus qu’à vous consacrer à ce qui nourrit votre cœur. C’est ainsi que votre réalité terrestre se réorganisera afin que vous puissiez faire fleurir votre réalité intérieure pour qu’elle coule vers l’extérieur. C’est en joignant votre mentalité à Celle de Dieu que vous deviendrez Enfant de Dieu sur Terre, comme Jésus le réalisa.

Quoi qu’il en soit, Dieu ne fera rien à votre place. Il créera simplement des situations pour vous permettre de mieux comprendre les mécanismes de votre réalité afin de vous aider à faire des choix source d’harmonie. Le degré d’harmonie dans votre vie est un bon indicateur de votre harmonie intérieure, gage que vous êtes bien sur le chemin du Royaume des Cieux. Non pas que celui qui vit la dysharmonie n’y est pas attendu, mais on reconnaît un arbre à ses fruits et, au Royaume des Cieux, il n’y a que de bons arbres et de bons fruits. Ainsi, utilisez l’extérieur pour connaître l’avancement de votre chantier intérieur et prenez les décisions qui s’imposent pour mener ce chantier à bien.

La seule chose que vous avez à faire en tout premier lieu, c’est de croire que c’est possible, de choisir un changement de paradigme, ici et maintenant, là tout de suite, pas demain. N’écoutez pas votre mental qui va vous énumérer une liste longue comme le bras de preuves qui vous diront que c’est impossible. Une fois le choix fait de sortir d’un paradigme obsolète à votre conscience, vous rencontrerez certainement de la résistance. En effet, lorsque votre présence intérieure se fait plus présente, votre mental humain s’agite car il sent qu’il n’a plus les pleins pouvoirs sur votre personnalité. Il constate que vos choix ne sont plus exclusivement influencés par ce qu’il vous dit. Il sent la puissance de cette concurrente divine et se met à rejeter tout changement qui pourrait venir rogner son pouvoir. Le mental humain est un conquérant. Le mental divin est un sublimateur. C’est une illusion de croire que l’un vient rogner le pouvoir de l’autre car en vérité les deux sont d’une divine importance et leur fusion vient sublimer le mental humain en l’illuminant de la sagesse divine tout en lui laissant tout pouvoir de décider des conditions de l’union. En vérité, le mental humain reste le grand chef du temple tant qu’il n’a pas décidé en conscience de fusionner son pouvoir avec celui du mental divin. Mais même fusionné, il garde tout pouvoir, et ce, à jamais. C’est de son plein gré qu’il choisit de s’unir et c’est à jamais qu’il aura le choix de rester uni ou de se désunir.

Le mental humain est l’enfant. Le mental divin est le Père-Mère. Le Père-Mère ne cherche pas à avoir l’ascendant sur Son Enfant, Il cherche la coopération. Il ne veut pas régner à la place de Son Enfant mais lui enseigner comment régner en son temple à Son Image et à Sa Similitude.

Cette résistance initiale du mental humain contre l’évolution est une réaction normale de défense et cela pourra engendrer une sorte de lutte intérieure qui aura pour conséquence de vous faire douter de tout : ce qui était ne peut plus être et ce qui sera n’est pas encore discerné. Ainsi, la peur de joindre son esprit à Celui de Dieu est une réaction de l’égo qui craint de mourir et de l’individu qui craint de perdre sa personnalité. Cependant, que pensez-vous du fait de consulter un psychiatre pour guérir une maladie mentale ? Et si cela apportait effectivement la guérison mentale, de quel ordre estimeriez-vous le changement de personnalité de l’individu ? A l’instar de ce processus, guérir son esprit de l’égo pour le joindre au Saint-Esprit ne modifie la personnalité que pour la rendre meilleure tout en en conservant les attributs uniques.

Cette période de changement demande une certaine force intérieure pour discerner la voie du milieu entre deux directions qui semblent contraires : la voix du mental humain qui vous dit de ne surtout rien changer et la voix du mental divin qui vous indique que le temps est peut-être venu de faire évoluer votre vision des choses et vos façons de faire.

Cette lutte, mental contre mental, ancienne croyance contre nouvelle croyance, n’est le fait que du mental humain qui résiste, résultat d’yeux qui ne veulent pas encore voir, car en vérité, rien n’est imposé, simplement proposé lorsque vous êtes prêt. La nature humaine est ainsi faite qu’elle résiste au changement quand il ne prend pas la forme à laquelle elle s’attend. Sa conscience évoluant, elle utilise alors de nouveaux outils inconnus du mental humain pour faire ses choix et c’est cette perte de contrôle qui le fait paniquer. Pour reprendre le contrôle, sa méthode sera de faire peur en créant des scénarios mentaux catastrophes, ressortir des vieux dossiers souvenirs dans lesquels les choses ont mal tourné, bref, tout ce qui pourra vous dissuader de faire différemment.

Mais en vérité, le mental humain n’est pas méchant, il ne prend pas plaisir à faire ça, il est simplement programmé pour être ainsi car il est conçu avec des programmes primitifs centrés sur l’activation de la peur pour assurer la survie de l’Homme à une époque où le danger pouvait surgir de n’importe où. Cependant, vient un temps où ces programmes archaïques doivent être mis à jour. C’est justement le rôle du mental divin lorsque la conscience humaine montre des signes de maturité.

Pour calmer le mental humain et être à l’équilibre sur le Chemin qui mène à Dieu, les processus d’introspection et de connaissance de soi apparaissent dès lors inévitables : comprendre ses mécanismes internes, les maîtriser et les faire évoluer pour que cette lutte intérieure soit transmutée en acceptation de Ce Qui Est. D’ailleurs, lutte et souffrance apparaissent lorsque deux buts à priori incompatibles s’affrontent. Par exemple, deux objectifs peuvent sembler entrer en conflit lorsqu’on pense qu’en réaliser un nous fait renoncer à un autre : avoir la paix implique avoir moins d’argent ou faire le tour du monde implique renoncer à fonder une famille, etc. Réfléchissez à ce à quoi vous pensez devoir renoncer pour réaliser ce qui vous tient à cœur. Quelle que soit la nature de votre lutte interne, elle peut être réconciliée si vous permettez aux deux buts de regarder dans la même direction. Cependant, s’il existe malgré tout une notion d’acceptation, il ne s’agit pas de résignation. Accepter Ce Qui Est c’est accepter qu’il existe un « cours des choses » dans lequel nous avons notre place. Ce n’est pas à nous de décider du timing divin, mais tout en acceptant Ce Qui Est, nous pouvons œuvrer dans le sens qui nous nourrit sans nous soucier ni du résultat ni de la récompense. Et finalement, ce n’est que lorsque nous commençons à expérimenter ce nouveau paradigme que le mental humain commence à s’incliner au profit du mental divin et que la nouvelle croyance, d’abord rejetée, devient la nouvelle normalité, notre nouvelle réalité. Et c’est là que nous sommes pleinement dans le nouveau paradigme.

La deuxième difficulté c’est que, selon votre situation présente, vous aurez peut-être à forcer^[7] cette nouvelle croyance tout en continuant à travailler pour vivre. Travailler pour vivre, sous-entendu gagner de l’argent pour vivre, est une croyance fausse. L’illusion vous dit que vous avez besoin d’argent pour vivre. C’est faux car la Vérité vous dit que vous avez besoin d’argent pour ACHETER ! Or la vie ne s’achète pas même si votre monde actuel vous montre le contraire.

La vie est un don de l’Esprit.

Au début, vous pensez devoir travailler pour vivre. Puis vous découvrez que vous pouvez vivre sans travailler mais que vous avez quand même besoin d’argent pour satisfaire vos conditions de vie. Si vous êtes suffisamment aligné et dévoué à vivre en harmonie avec vous-même, sans concession, loin de toute préoccupation matérielle et suffisamment certain en votre cœur que vous êtes Fils de Dieu et qu’ainsi Il pourvoira sans faille à tous vos besoins pour que vous puissiez vous réaliser pleinement et Lui revenir, vous serez surpris de constater que vous mangerez à votre faim, aurez un toit sur votre tête et disposerez du temps nécessaire pour vous reconstruire. PEU IMPORTE LA FORME QUE ÇA PRENDRA ET LE JUGEMENT QUE VOUS PORTEREZ DESSUS, ÇA VOUS SERA OFFERT. Dieu qui pourvoit à vos besoins ne veut pas forcément dire avoir des comptes pleins et vivre dans un palace car Dieu qui pourvoit à vos besoins veut dire qu’Il vous donnera ce dont vous avez besoin et non ce dont vous avez envie. Il s’agit de vous laisser l’esprit libre de toute préoccupation matérielle siphonnante et finalement l’énergie nécessaire pour continuer à explorer le nouveau paradigme intérieur de liberté pour l’incorporer graduellement jusqu’à briser totalement les chaînes de servitude et permettre votre renaissance. Celui qui s’autorise l’alliance avec le Mental de Dieu se donne à lui-même les mêmes pouvoirs que Lui. Concrètement, cela fait de vous un Homme-Dieu, et tels que Jésus et d’autres Maîtres sur Terre, vos pensées seront Esprit, vos mots seront Esprit et vos actes aussi. C’est ainsi que vous pourrez manifester tout ce dont vous aurez besoin dans le respect du bien commun.

Durant ce processus de changement, vous vivez dans une sorte de paradoxe, avec la graine d’une nouvelle croyance qui prend racine en vous, mais qui n’est pas encore visible dans votre réalité, vous faisant ainsi inlassablement douter de ce qui est vrai.

Ce qui facilite les choses, c’est de se mettre dans le positionnement intérieur suivant :

« Oui, j’accepte ma situation présente, j’accepte de continuer ce boulot que je n’aime pas mais je sais désormais que c’est temporaire et que cela va se terminer car je ne crois plus en ce paradigme. Je ne sais pas comment, mais la Vie va s’organiser pour me permettre de vivre ma vie dans le nouveau paradigme, où mes conditions de vie seront assurées selon la Volonté de Dieu afin que je sois pleinement libre de faire fleurir mon monde intérieur pour le matérialiser dans ma réalité physique.

Pour cela, je comprends qu’une période de rétablissement me sera accordée et, qu’ensuite, je me mettrai volontairement au service de la Vie en servant autrui, de la façon qui sera la mienne, pour partager mon chemin jusqu’à Dieu et ainsi permettre à d’autres de se mettre au service dans ce Nouveau Monde de service en création.

Je comprends, cependant, que se mettre au service ne signifie pas essayer de convertir, mais incarner simplement le nouveau paradigme dans la vie quotidienne et rendre service quand la vie m’y invite.

Je comprends aussi que l’oisiveté ne fait pas partie des qualités d’un serviteur de l’Amour et que Dieu m’apprendra la différence entre oisiveté et repos.

Je comprends enfin que Dieu ne fera rien à ma place et que lorsque les opportunités se présenteront, je poserai les actions nécessaires pour mon évolution. »

En effet, le temps de repos accordé à tout serviteur de Lumière qui se découvre n’est pas un temps oisif. Je le précise car beaucoup, pour ne pas dire tous, alors qu’ils entrent dans cette phase préalable que le monde appelle « crise existentielle », sont victimes d’un profond sentiment de culpabilité à s’accorder un repos bien mérité (souvent grâce au chômage, à la maladie ou à la retraite), avant ce qui sera les meilleures expériences de toute leur vie. Cette phase de repos est en fait une phase de déprogrammation de tout ce qu’on a appris et doit être considérée comme normale afin de pouvoir être reprogrammé par l’Amour. Ce temps de repos vous permet de vous régénérer physiquement et spirituellement mais aussi de prendre du recul et de la distance avec tout ce qui constituait votre quotidien bien rangé, automatisé et normal.

Finalement, quand nous sommes dans le nouveau paradigme, nous ne cherchons plus à réussir quoi que ce soit et nous n’avons plus vraiment de plan sur le long terme. Nous vivons plus ou moins au jour le jour, ouvert à ce que la vie nous propose dans l’instant et à l’écoute de notre « autorité intérieure[8] ». Parfois, nous pouvons avoir prévu des choses à faire mais une sorte de tiraillement interne nous dit que non, ce n’est pas le moment. On est à l’écoute de son corps, de ses élans, de sa voix intérieure. Dans ce cas, on ne fait pas ce qui était prévu par le mental et on suit le flow. Mais on a toujours le choix ! Avec l’expérience, on se rend compte que suivre la Voix nous rend simplement la vie plus facile.

Mais suivre la Voix demande du courage.

Pour revenir à cet exemple de Dieu qui cherche Dieu, je dirais que cette absurdité est quotidienne dans notre monde depuis l’époque des païens. Nous cherchons Dieu partout alors qu’en fait Dieu est en nous ! Nous ne sommes pas littéralement Dieu Père-Mère mais Dieu ayant déposé en chacun de nous une parcelle de Lui, nous sommes créés à Son Image et à Sa Similitude. Nous possédons donc en nous une porte qui donne sur la Sagesse Infinie de Dieu Lui-Même et il est de notre volonté de chercher à incorporer cette similarité ou pas. La Vérité que tout chercheur cherche se trouve en lui. C’est d’ailleurs ce que YHWH me dit au début où je recevais des messages nocturnes. Je me réveillai un matin avec cette phrase en tête :

« Je suis ce que je recherche, je suis mon Feu Vert ».

Qu’est-ce que je recherche ? La vérité, je recherche la Vérité, Dieu. Tout a commencé à prendre son sens ici. Je m’évertuais à chercher la Vérité partout, à vouloir l’acheter et la vendre aux autres mais à quoi bon ? Si la Vérité est en moi alors chaque être humain la possède aussi en lui. Pourquoi continuer à vouloir vendre mon interprétation et mon expérience de la Vérité à des personnes qui sont elles-mêmes une incarnation de la Vérité. C’est là que j’ai commencé à voir l’absurdité de ce manège.

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^[1] Ce qui me guide a pris l’habitude de graver des messages dans mon esprit juste quelques secondes avant que je me réveille. Au début, je devais les noter immédiatement après avoir ouvert les yeux au risque de les perdre si mon esprit venait à être attiré par autre chose au moment du réveil. Mais désormais, avec l’entraînement, j’arrive à les garder en tête en me les répétant en boucle jusqu’à pouvoir les écrire.

[2] Seulement des formations non-diplômantes ni reconnues.

[3] Source Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Human_Design 

[4] https://www.designhumainfrance.com/votre-carte

[5] Tout au long du livre, le mot « Homme » désigne les hommes et les femmes comme le groupe humain sur Terre. Cependant, « homme » désigne le genre masculin.

[6] « Le Royaume des Cieux », Lulumineuse, éditions Animae

^[7] Je dis forcer car cela nécessite un certain effort quotidien, une certaine endurance dans l’effort, pour jongler entre les moments de purge et d’acceptation émotionnelle et les moments où il faut se relever pour continuer d’avancer, faisant l’interminable effort de concentrer son attention sur ce qui nous nourrit et non sur ce qui nous affaiblit.

[8] Voir votre carte Human Design.