Ces mots me sont venus comme une évidence, un appel à regarder la vie autrement. Ils ne s’adressent pas à la tête, mais au cœur – à cette part de nous qui cherche un sens plus profond au-delà de ce qu’on voit.
Je ne les partage pas pour convaincre, mais simplement parce qu’ils m’ont aidé à me souvenir de ce qui compte vraiment. Alors, si ce texte résonne pour toi, garde ce qui t’inspire et laisse le reste.

Chapitre I — L’illusion de la vie matérielle
Quand tout ce que tu crois réel n’est qu’un décor temporaire
Aujourd’hui, tu crois que ta vie c’est ton travail, ton argent, tes relations, ta maison, tes projets, tes passions, tes problèmes ou tes souffrances mais ce n’est rien de tout ça. Tu investis une énergie considérable dans des choses éphémères que tu perdras aussitôt que tu passeras « de l’autre côté ». Pourtant, tu tiens à tout ça, à ton confort matériel, à tes projets et tu ne veux pas les abandonner car c’est si important pour toi. Aujourd’hui, tu t’accroches ardemment à ça parce que tu crois que c’est la seule réalité qui existe. Tu crois que la vie se résume à ce que tu en vois et en connais… tu n’as pas de vision au-delà de la réalité que tu vois alors, tu as raison… pourquoi abandonner la seule chose qui existe pour toi ?
C’est à cet instant précis qu’il t’est demandé un courage sans nom.
Peu pourront entendre ce message, car peu ont la maturité intérieure nécessaire pour accueillir la vérité de leur salut. Mais le temps viendra pour chacun.
Je m’adresse à ceux qui perçoivent déjà ce qui est dit ici : le monde est bien plus vaste que ce qu’on nous en a dit.
La vie ne s’arrête pas à la « mort », car il n’existe pas de mort telle qu’on la connaît. La vie sur Terre n’est qu’un passage parmi tant d’autres, et le corps qui t’est prêté à chaque fois n’est qu’un véhicule organique qui te sert pour expérimenter le monde que tu visites.
Chapitre II — La vie est un passage, pas une fin
La mort n’est pas une fin, mais une porte vers la continuité de la conscience
Certes, toute vie n’a pas systématiquement vocation à dépasser la matière, car tous les psychismes n’en ont pas encore la maturité, mais pour celui qui lit encore ces lignes :
- Combien de vies vas-tu encore gaspiller dans des poursuites vaines, guidé par la peur, l’orgueil ou la vanité ?
- Combien de fois vas-tu passer à côté de ton véritable chemin ?
- Combien préfèrent encore fermer les yeux par manque de foi en une réalité plus vaste qui les appelle ?
Ta vie te semble dure parce que tu ne la vis pas comme tu es censé la vivre… entends-tu ? Tu ne peux pas te contenter d’errer en attendant la mort, pensant qu’après il n’y a plus rien. Tu ne peux pas continuer à vivre tièdement, avec des peut-être ou des « on verra plus tard » car c’est maintenant « plus tard » ! Tu ne peux plus continuer à semer égoïstement chaque jour en croyant que tout s’arrêtera ensuite. Ni fuir tes problèmes d’aujourd’hui en pensant que tout cela disparaîtra dans le monde d’après.
Sache-le : la vie ne s’arrête jamais.
Quand tu « meurs », tu laisses ce corps pour en revêtir un autre, plus léger, invisible aux yeux humains. Mais tu restes le même : avec tes croyances, tes « problèmes », tes souffrances et tes apprentissages inachevés — sauf que tu n’as plus de corps pour les dépasser.
Chapitre III — L’incarnation : un cadeau que tu oublies
Tu es venu sur Terre pour apprendre, pas pour posséder
Tout ce que tu vis actuellement est une bénédiction. Cette incarnation, que tu maudis parfois, est un cadeau que tu as durement gagné. Sais-tu le travail que tu as dû fournir pour la gagner ? Sais-tu le nombre d’années durant lesquelles tu as dû travailler, servir et attendre patiemment cette opportunité d’évoluer à nouveau ?
Chaque incarnation est une chance précieuse d’approcher la vraie liberté en dépassant la matière. Quand ton corps meurt, tu ne vas pas automatiquement « au paradis », tu ne reçois aucune récompense qui n’ait été méritée par la preuve de tes actes de bonté, et tu n’obtiens pas de réponse à toutes les questions seulement parce que « tu es mort ».
Tu restes conscient, et tu vois, avec clarté, ce que tu as manqué — car tu es toujours vivant, et tout ce à quoi tu tenais n’a soudain plus d’importance : ni argent, ni statut, ni possession.
Tu te retrouves nu, face à toi-même, récoltant ce que tu as semé. Et cette récolte sera à la hauteur de ton amour… ou de ton orgueil. Tu te rendras compte que les belles paroles n’auront pas suffi à remplacer les actes et que tes grands actes sans cœur n’auront servi que ta vanité.
Ceux qui n’avaient rien, et qui ont pourtant donné avec amour du peu qu’ils avaient, auront tout, et ceux qui avaient tout sans jamais avoir donné n’auront plus rien.
Chapitre IV — Le véritable but de la vie
Te souvenir de qui tu es, voilà ta seule mission
Si le but de la vie n’est ni le compte en banque, ni le statut social, ni les vaines aspirations matérialistes qui régissent ce monde, quel est-il alors ?
C’est là que ça devient intéressant car quand tu auras la réponse, elle ne te conviendra pas et beaucoup qui ont eu le courage de lire jusqu’ici vont s’arrêter là.
Pour comprendre le message important que je vais te donner, il te faut prendre du recul, suffisamment pour faire l’effort d’oublier ce que tu sais ou crois savoir. Tant que tu restes prisonnier de tes références et de tes croyances, tu passeras à côté du message de ton salut. Ce n’est pas ta faute : le manque cruel de connaissance quant à la réalité des choses entretient la peur, et cela t’éloigne de la vérité.
Le but de la vie n’a rien à voir avec tout ce en quoi tu crois aujourd’hui et la plupart de ton temps tu le dilapides en des activités qui te comblent momentanément mais qui te desserviront « à la fin ». Le temps qui t’est alloué ne l’est que pour te donner le temps de te souvenir d’une seule chose… de qui tu es.
Tu n’es pas venu pour accumuler, mais pour te rappeler que tu es fils ou fille de la Force Créatrice.
Chapitre V — Dieu, ou la Force vivante
Au-delà des dogmes, la Force créatrice qui anime toute vie
Alors, ça veut dire quoi concrètement ?
Sors des institutions religieuses, oublie les dogmes et tout ce que tu crois savoir sur le terme Dieu. Dieu n’est pas un vieil homme dans le ciel. Dieu n’est pas une personne, mais une Force intelligente, créatrice, vivante qu’aucune définition ne peut contenir, car on est encore bien loin de pouvoir en comprendre la nature. À notre stade, on est juste capable de comprendre que cette Force est à l’origine de tous les univers et de toutes les formes de vie. Parmi elles, l’humanité, qui expérimente la conscience à travers des corps physiques. Tu n’es donc pas ton corps, mais la conscience qui l’habite. Cette conscience ne meurt jamais : elle change simplement de véhicule organique doté de caractéristiques lui permettant d’expérimenter la vie. C’est cette conscience, cette âme qui est fils ou fille de Dieu, et en tant que tel, tu as été créé avec un seul et même but : participer à la reconstruction de la Création, que Dieu, la Force, a déconstruite pour s’explorer Lui-même, en retrouvant ta place au service du Tout.
Chapitre VI — Le plan de la Création
Comment la Source s’expérimente à travers toi
À l’origine, il y a cette Force. Elle est Une, complète et immobile. Elle sait tout, mais elle voulut Se vivre et faire l’expérience d’Elle-même. Alors elle conçut un Plan en Pensée, celui de la Création. C’est le Père, la Pensée originelle.
Une fois cela établi, cette Force créa une Intelligence créatrice et douée de volonté qui est son image, le Fils : le Prototype de l’être humain divin, cette version accomplie de l’humanité que chaque être est destiné à devenir au terme de son processus de libération.
Et enfin, cette Force insuffla le Saint-Esprit, ce Guide-Instructeur, cet Enseignant qui est chargé de guider de l’intérieur chaque âme vers sa réalisation individuelle et collective pour reformer le Fils.
Le but de la vie est donc double :
- t’autoriser à te souvenir progressivement de qui tu es
- jusqu’à reprendre progressivement ton rôle dans tout ça : serviteur de la Création, en contribuant consciemment à son harmonieuse reconstruction
Chapitre VII — Servir la Vie
Aimer et contribuer, la vraie manière de vivre
Ce monde est peuplé d’êtres individualistes, irresponsables (en termes de responsabilités originelles) et égoïstes car, ayant oublié leur Source, ils ont peur et se croient seuls. Comme ils ont oublié la paternité de cette Force Créatrice infiniment aimante, et la fraternité avec les autres âmes qui en découle, ils pensent devoir « gagner leur vie » et s’occuper de résoudre seuls leurs « problèmes ».
En vérité, la vie n’est pas à gagner car elle est déjà donnée. Et nul besoin de régler les « problèmes » qui ne sont que des moyens enseignants pour expérimenter et « grandir ». C’est systématiquement un problème de vision car on t’apprend à être aveugle dès la naissance. Nos instructeurs ici-bas sont aveugles car ils n’ont pas réalisé ce qu’il est temps pour toi de réaliser maintenant : accepter d’oublier ce qu’on t’a appris pour enfin commencer le véritable apprentissage afin de te réaliser dans ce monde et dans les mondes suivants.
Le vrai service, c’est d’aimer son prochain sans chercher un quelconque intérêt personnel en cela, et de reconnaître en chaque être un frère ou une sœur.
C’est cela, reconstruire la Création.
Il s’agit d’apprendre le désintéressement total en sachant que tout te sera donné pour effectuer cette tâche évolutionnaire de reconstruction. Souviens-toi que nous sommes tous frères et sœurs unis dans le même objectif.
Chapitre VIII — L’égo : ton ancien maître
Reconnaître l’illusion de ton moi pour retrouver ton essence
Mais il est certes difficile d’aimer et de supporter les autres quand on n’a pas compris la propre imperfection de sa personnalité qui est représentée par l’égo. Aimer les autres devient possible quand tu reconnais ta propre imperfection.
L’égo, c’est cette personnalité qui s’est séparée de sa nature originelle, qui s’obstine à l’oublier et à se complaire dans la futilité du monde matériel éphémère, qui veut contrôler, briller ou se défendre, et qui t’éloigne toujours plus de ton essence.
Sache que cette vie t’est encore donnée pour te préparer au passage de la désincarnation, vers le monde spirituel qui t’attend après. Plus ton attachement à la matière est fort, plus le passage sera difficile et douloureux car la vérité contre laquelle tu résistes aujourd’hui sera la douleur que tu rencontreras demain.
Chapitre IX — Se préparer à la vraie vie
Apprendre ici ce qui t’attendra de l’autre côté
Tu te dis sûrement que tu verras bien le moment venu et que si tout ça est bien vrai, alors tu le croiras finalement. Mais cela ne fonctionne pas comme ça, car le psychisme doit se préparer à un tel passage, et même un repentir de dernière minute ne suffit pas si ta conscience n’a pas évolué, car même après la « mort », une conscience matérialiste reste matérialiste par la force des choses et un manque d’éducation spirituelle durant la vie terrestre. Avant de visiter un pays aux lois et aux coutumes étrangères, on doit se préparer, au risque de se retrouver projeté dans un monde inconnu sans défense ni repère. Et le parallèle est léger car la vérité est plus difficile encore, malgré toute l’aide fraternelle qui est à disposition des cœurs sincères de mortels en transition. Un esprit matérialiste et immature spirituellement ne pourra que souffrir lors du passage car c’est la folie qui le guette jusqu’à ce qu’il recouvre ses esprits. Ce n’est pourtant pas une punition mais la simple loi de cause à effet. En bas comme en Haut, on voit ce qu’on croit et on récolte ce qu’on sème, mais avec un effet sans limite et à la hauteur de qui on a été.
Pour chaque occasion ratée, tu devras recommencer, non par punition, mais par nécessité d’apprentissage.
Vois cette vie comme une question à laquelle tu dois répondre : si on te posait une devinette à laquelle tu essayais tièdement de répondre, attendant qu’on te donne la réponse, tu aurais finalement une réponse à la hauteur de ta compréhension lors de ta désincarnation, mais ce ne serait pas du jeu… tu dois faire tout ce qui est en ton pouvoir pour étudier sincèrement la question par toi-même durant le temps alloué. Le but n’est pas de trouver la Réponse car c’est impossible à notre stade d’évolution, mais de t’en rapprocher le plus possible, préparant ton psychisme à l’étape suivante du monde spirituel supérieur. Ce n’est pas le résultat qui compte, mais la sincérité du chemin.
Le cycle d’incarnation n’est qu’un cycle et il n’est pas fait pour durer éternellement. Une fois un certain état mental acquis, on ne se réincarne plus. On expérimente à travers un véhicule plus léger dans des mondes spirituels. Mais le but évolutionnaire reste le même : aimer et servir pour participer à la reconstruction de la Création, cette Fraternité vivante née de Dieu la Force.
Chapitre X — Les lois de la fraternité divine
Servir, aimer, partager : les clés de la paix intérieure
Il y aurait tant de choses à dire encore mais à ce stade souviens-toi que :
- tu es fils ou fille de Dieu la Force
- nous sommes tous frères et sœurs
- ton but est d’apprendre à servir la Création
- servir consiste à apprendre à Aimer, soi-même et les autres
- aimer, c’est dépasser l’égo, ses aspirations, ses peurs, ses manques, qui voit le mal partout, séparé de l’autre, qui s’attache à la matière éphémère, aux sensations, aux désirs, aux projets personnels, au besoin d’exister, de réussir et d’être reconnu
- pour se forger une personnalité supérieure, certes la même, mais libérée de la peur, du manque et de toute souffrance, source de séparation, d’individualisme et de comportements destructeurs, ouverte à la fraternité, au partage, à la joie et à la paix
Trop nian-nian ? Oui, c’est à cela que ça ressemble quand on y regarde avec les yeux de l’égo.
Chapitre XI — Aimer, la voie de la libération
L’amour guérit tout, même ce que tu crois impossible
Tu ne perdras rien – tu gagneras tout. Mais pour cela, tu dois vouloir redevenir qui tu es vraiment : un être d’amour. Et aimer commence par aimer ce que tu détestes.
Cela pourrait-il être aussi simple ? Ça l’est. Car tu n’es pas seul et ta bonne volonté, aussi ardente soit-elle, ne peut, à elle seule, suffire à une telle guérison. Une Présence t’accompagne : l’Enseignant intérieur, la Voix de la Force en toi.
Tu as été créé par le Père. Tu es le Fils et tu as le Saint-Esprit à ta disposition, l’Enseignant logé en toi-même pour t’apprendre à redevenir qui tu es.
Chapitre XII — L’Enseignant intérieur
La voix de la Force parle déjà en toi, apprends à l’écouter
Nulle église, nulle école, nul maître humain n’a le pouvoir de te guider ni de te mener à la libération, si ce n’est le Saint-Esprit de Dieu la Force qui est en toi.
Alors fais le tri dans ta vie, libère-toi de ce qui t’épuise, et accorde du temps à cette écoute intérieure pour commencer l’enseignement. Aie la foi, et ne perds jamais espoir car là est le seul remède à tous tes maux. Aie confiance, même sans tout comprendre.
Essaie, et découvre par toi-même.
Chapitre XIII — L’appel au courage
Oser le dialogue avec l’invisible et faire confiance à la Lumière
Malgré ce long message, pas besoin de long discours pour voir que ce monde va mal et que quelque chose cloche. Tu sais intuitivement qu’il existe autre chose. Accroche-toi à ce fil d’espérance et dialogue avec ton Enseignant intérieur en l’intégrant progressivement à ton quotidien pour qu’il te guide avec douceur. Qu’as-tu à perdre après tout ? Personne n’a besoin de le savoir. Oui, tu te sentiras peut-être bête au début à parler tout seul à cet Enseignant invisible mais sois courageux et ose. Fais de Lui ta Bonne Étoile et remets-toi systématiquement à Lui chaque jour et à chaque pas.
« Enseignant, montre-moi ce que je ne vois pas »
« Apprends-moi à aimer »
« Crée pour moi des occasions de grandir »
« Je te confie mes peurs, ma colère, ma tristesse »
« Montre-moi comment penser, voir et agir selon la vérité »
« Montre-moi comment ne plus avoir peur de manquer »
Chapitre XIV — La promesse de la liberté
Quand tu cesses de lutter, la Vie te rend tout ce que tu es
Toutes les réponses que tu cherches existent, mais elles ne se trouvent pas dans le monde matériel ni dans les standards que tu connais. Rien ici-bas ne peut te combler durablement. Ce que tu cherches, c’est la paix — et elle se trouve en toi.
Tu as déjà vécu assez longtemps pour être certain de l’éphémérité de ton repos, devant sans cesse recommencer ton dur labeur pour assurer ton confort, ta sécurité et ta « vie ». Dès que tu cesseras de lutter seul, tout changera. L’Enseignant intérieur t’apprendra que tout est donné à celui qui choisit de redevenir qui il est vraiment, pour faire ce pour quoi il est réellement fait.
Tu ne perdras rien, tu gagneras tout : tes qualités seront purifiées, tes compétences mises à profit et tes blessures guéries pour révéler le caractère humble et courageux qui sommeille en toi.
Chapitre XVI — Le choix
Tu peux continuer à survivre… ou commencer à vivre vraiment
Qui refuserait pareille opportunité ? Qui refuserait la liberté, la paix et le bien ? Et pourtant, beaucoup préfèrent encore rester esclaves de la peur et de l’égo.
Tu veux la paix ? Alors désintéresse-toi des fausses promesses du monde.
Tu veux enfin vivre ? Alors mets-toi à servir la vie.
Tu veux être libre ? Alors entends cette vérité et ose faire les choses avec un regard différent et désintéressé.
Vivre : c’est un don ; servir : ton rôle ; et vivre libre : ta condition.
À celui qui entend, tout lui sera donné pour qu’il remplisse son rôle. Sinon, il devra continuer à « gagner sa vie » car telle est sa croyance.
Mais il est primordial de bien comprendre que tu n’as pas à réfléchir seul à ta transition, à la suite, à ce qu’il faut faire ou pas pour évoluer, tu as simplement à vouloir accéder à cette nouvelle réalité, faire preuve de bonne volonté et de courage en acceptant les épreuves libératrices qui en découleront immédiatement.
Pour passer les étapes les unes après les autres, tu as simplement à reconnaître que tu ne sais rien, prêt à apprendre et à t’en remettre complètement à cet Enseignant que certains appellent Guide, Bonne Étoile ou encore Saint-Esprit.
La vérité est là, simple et patiente. Elle t’attendra, encore et encore, jusqu’à ce que tu sois prêt à la recevoir. Prends-la maintenant ou attends encore la prochaine fois. Mais c’est toujours la même vérité qui te sera tendue jusqu’à ce que tu décides de l’accepter.
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